G : histoire, géo, admin

Gignac : culture locale

Faune et flore

Cela m'intéresse

Documents sonores

Gignac : un autre regard

Cadre de vie

Culture et voyages

Culture, lettres, écriture

Culture philosophique

Santé

Société

rss Cet article est disponible en format standard RSS pour publication sur votre site web :
http://d.mireille33.free.fr/data/fr-articles.xml

Les oiseaux du Quercy, du Limousin, du Périgord
 
 
Canards.jpg
 

faisan.jpg

faisane.jpg
Le faisan et la perdrix rouge dans la nature
 
grues.jpg
Grues en migration
Chez les rapaces, outre la buse assez commune, le faucon pèlerin qui semblait menacé voici une quinzaine d'années ne l'est plus apparemment aujourd'hui. On les compte en nombre suffisant pour espérer assurer la pérennité de l'espèce. On le trouve sur les falaises des vallées de la Dordogne et du Lot. Le circaète Jean-le-Blanc, un rapace migrateur qui se nourrit de reptiles - serpents et lézards - s'installe l'été sur les causses et au sud du département où il trouve la sécheresse qui lui convient. Contrairement à d'autres départements limitrophes, le Lot abrite encore un nombre important de perdrix rouges, toujours proches des cultures céréalières, sur presque tout le territoire environnant. L'oedicnème criard, que les Lotois appellent " le courlis des champs ", est un oiseau typique des causses, migrateur lui aussi, qui se nourrit d'insectes. On note également la présence du bruyant ortolan, un passereau migrateur  : il ressemble comme un frère à un vulgaire moineau  : sa chair délicate est, paraît-il, très recherchée. Plus inattendu et magnifique à observer en hiver dans son vol en piqué silencieux, le grand cormoran. Depuis environ cinq ans, on remarque qu'il remonte la Garonne et prend ses quartiers sur les bords du Lot où le gîte ( les falaises ) et le couvert ( la rivière riche en poissons gros et petits ) semblent lui convenir : il faut savoir qu'un cormoran moyen avale par jour quelque 20 kg de poissons, de quoi sinistrer la rivière si une colonie s'installe. Et, bien évidemment, mésanges ( nonnettes, charbonnières, bleues ), pinsons, rouges-gorges et autres rossignols offrent un festival permanent de chants variés.
 
L'hiver, je donne à manger aux oiseaux : mésanges, pinsons des arbres, rouge gorges, moineaux...
 
oiseauxso.jpg
 
oiseauxchasse.jpg
 
oiseautraces.jpg
 
Empreintes d'oiseaux
grive.jpg
Grive
 
exterieur_nid.jpg
Extérieur d'un nid
 
 
buse.jpg

La buse variable

Identification :
 Rapace le plus commun d'Europe Centrale. Stature compacte, avec une tête rondelette et une queue assez courte. Comme son nom l'indique, plumage aux couleurs très variables, généralement brun foncé avec le dessous tacheté de blanc. Le bec est courbé dès la base. Sexes semblables, la femelle étant un peu plus grande que le mâle.
( ordre : falconiforme ). Elle a un cri assez doux, plaintif,  mais c'est un oiseau de proie. Un jour, alors que nous avions un cochon d'Inde  plus ou moins libre qui sortait comme il voulait de sa cage, une buse a foncé sur le jardin et nous l'a emporté.

Biométrie :
 
- Régime : carnivore
- Longueur : 51 cm - 57 cm
- Envergure : 1,2 - 1,4 m
- Poids : pour les mâles 600 - 900 gr, pour les femelles 800 - 1200 gr
- Longévité : 25 ans maxi
- Reproduction : mars et début mai
- Habitat : campagne, avec alternance de prés, champs et forêts
- Distribution : Europe, sauf Irlande du sud et au delà du cercle polaire
La Buse variable piaule. Le cri de la buse variable ressemble à un miaulement haut perché, souvent répété quand l'oiseau est posé, et surtout quand il vole. Ce cri s'entend de loin et révèle sa présence.

En France, trois sous-espèce sont signalées : Buteo b. buteo, nichant en France continentale; B. b. arrigonii nichant en Corse ; Buteo b. vulpinus occasionnelle en migration ( env. 15 données en France, Dubois et al. 2001). Entre 125 000 et 163 000 couples nicheurs, les plus grosses densités en Franche-Comté, dans le Nord des Alpes et dans le Limousin (Thiollay & Bretagnolle 2004 )

.- En vol : ses ailes sont larges et tendues, légèrement relevées, sa queue courte, mais large aussi, en éventail et arrondie, sa tête parait forte et peu détachée du corps ( le cou est petit ) son vol paraît lourd. Elle plane en cercles parfois pendant des heures, et lorsque le vent est assez fort il peut lui arriver de chasser en vol stationnaire au dessus des champs.

- à l'affût : sur un piquet, sa silhouette est massive le plumage strié de sa poitrine est plus clair et forme un croissant. On la voit fréquemment sur le bord des autoroutes, attendant qu'une de ses proies se fasse écraser, pour aller ensuite la chercher.
Il est quasiment impossible de reconnaître la buse grâce à la couleur de son plumage, celui-ci peut varier selon les individus, certaines buses étant très foncées et d'autres très claires presque blanches.
 
Son alimentation


La majeure partie des proies sont capturées après avoir été localisées à vue, en volant en cercles à basse altitude, mais aussi à des distances d'une centaine de mètres. Campagnols et autres petits mammifères des champs représentent l'essentiel de son régime, mais parfois, elle peut ajouter à son menu, des levrauts, des lapereaux, des jeunes oiseaux, des insectes, des batraciens, des reptiles et même des céréales ( surtout en période chaude, pour nourrir ses jeunes ). En hiver lorsque la nourriture est plus rare, elle ne dédaigne pas les charognes. Ainsi, comme la plupart des rapaces, elle joue un rôle primordial en éliminant les petits rongeurs et en nettoyant les charognes, elle limite les risques de propagation des maladies.     
Une fois la proie repérée, elle la capture et la tue avec ses serres puis la déchiquette avec son bec, sur place ou bien dans son aire.
Les piquets d'où guettent les buses sont facilement repérables grâces aux fientes blanchâtres qui les recouvrent et aux pelotes de réjections qui jonchent le sol.
·    Les fientes constituent un bon engrais. En général au pied de ces piquets l'herbe est plus haute et plus dure.
·    Les pelotes de réjections : les oiseaux comme la buse ne digèrent que partiellement leurs proies. Os, plumes, poils.... tous les résidus non assimilés par les sucs gastriques, se retrouvent dans l'estomac, ils s'agglomèrent entre eux grâce à un mucus collant pour former une petite boulette ( voir le faucon crécerelle qui a une digestion semblable ) qui sera rejetée par le bec .
 
Sa vie

Son territoire s'étend sur 4 à 6 km2.
Si l'endroit est suffisamment riche en nourriture, 5 à 7 couples peuvent vivre sur une étendue de 10 km2.


Habitat :
La buse, souvent visible au dessus des champs et des prairies, des marais, des côtes rocheuses ou alluviales ( son territoire de chasse ), niche le plus souvent en forêt, en bosquets. C'est au mois de février, après les rigueurs de l'hiver, que les buses manifestent l'envie de se reproduire.
Les parades nuptiales sont très faciles à observer. Solitaires ou en groupe de quelques individus, elles planent et effectuent des acrobaties aériennes pour se faire remarquer d'un partenaire. Une fois les couples formés, suivent de longs vols planés circulaires suivant les courants ascendants en poussant des petits cris aigus pour délimiter leur territoire nuptial.
Ce sont des successions d'ellipses, planés et descentes en piqué, réalisés en couple.
Un couple établi sur un territoire y restera toute sa vie. En février, les vols nuptiaux s'intensifient et continuent en mars.

Nidification :
Quelques temps plus tard ( courant mars ), après avoir choisi un arbre élevé ffeuillu ou conifère, ( Elles nichent sur les arbres élevés dans les forêts, à une hauteur allant de 6 à 30 m, soit dans les plaines, soit dans les montagnes, ou au milieu de broussailles parmi les rochers. ) le couple va commencer la construction du nid avec des branches et des brindilles bien sèches, en commençant par le fond qu'ils tapissent également d'herbes, d'écorces et de mousses. Leur nid au final, atteindra environ 60 cm de diamètre. Toutefois, si notre couple est un peu fainéant, il lui arrive d'aménager un ancien nid de corbeaux.

Une fois que les travaux sont terminés, le mâle va féconder la femelle qui pondra ( début avril ) 2 à 4 oeufs blancs tachetés ( à intervalles de deux ou trois jours ). La seule activité de la femelle sera dorénavant de couver, et celle du mâle d'apporter de la nourriture. Lorsque le mâle arrive avec une proie il s'annonce en poussant de petits cris, la femelle laisse alors son nid le temps de se rassasier ( le mâle la remplace sur le nid seulement à cette période ).

33 à 35 jours après, c'est l'éclosion, la femelle reste près de ses petits pour leur tenir chaud et les protéger. Une semaine après l'éclosion, elle repart de nouveau à la chasse, c'est également la période où les plumes des petits commencent à apparaître et à les protéger du froid.
A l'âge de 21 jours, ils tiennent déjà sur leurs pattes et se manifestent par de petits cris lorsque les parents passent près du nid.
A l'âge de 1 mois, les jeunes commencent à battre des ailes, cette gymnastique prépare le futur envol qui ne se produira que vers la mi-juin, puis ils resteront encore dépendants de leurs parents pendant deux mois.
Ces jeunes sont capables de dévorer les proies apportées au nid, mais même après avoir quitté le nid, ils restent très dépendants des parents jusqu'après l'été, période où ils se dispersent et mènent une vie errante jusqu'à ce qu'ils rencontrent l'âme soeur.


L'hiver
L'hiver n'est pas une période très facile et seuls les animaux les plus solides peuvent survivre. La buse est un migrateur partiel, c'est à dire que seuls les oiseaux qui vivent le plus au nord de l'Europe migrent vers l'Europe du sud ou de l'ouest.
Dans nos campagnes, il n'est pas rare de l'apercevoir à l'affût sur un piquet tout emmitouflée dans son duvet, une patte repliée sous son ventre et ses plumes gonflées pour maintenir sa température corporelle.


Protection
La buse, comme tous les rapaces, est heureusement protégée, cependant elle a toujours du mal à mourir de sa belle mort. Bien que parfaitement adaptée pour survivre à son environnement ou à ses éventuels ennemis naturels, elle est toujours victime des hommes.
Ses soucis viennent surtout :
- des collisions avec les voitures ou les pylônes et câbles EDF
- de l'invasion des touristes qui perturbent le calme de son territoire
- de l'altération de son habitat
- de divers empoisonnements, comme la strychnine ou autres poisons qui sont déposés sur des carcasses
- de quelques chasseurs ( bien que protégée, elle est encore victime de "plombs égarés " ).
Les pesticides et autres insecticides, principalement dus aux traitements agricoles et, ingérés par les granivores, restent actifs durant des années et se dissolvent dans les graisses des petits animaux. Ils passent sans aucun problème de la proie au prédateur et plus on remonte dans la chaîne alimentaire, plus les effets sont graves. Les rapaces sont au sommet de la chaîne...
d'après Pascal Farcy et Wikipedia


 

chouetteeffraie.jpg

La chouette effraie

La chouette a des plumes garnies de duvet. Le duvet amortit les bruits. Son vol silencieux lui permet d'entendre le plus petit bruit de ses victimes et de se précipiter sur elles sans qu'elles s'en aperçoivent. Elle hulule de façon impressionnante la nuit lorsqu'elle va chasser les petits rongeurs. Comme les chauve-souris, elle s'oriente grâce aux sons. Elle s'installe dans le creux des arbres.
J'ai une fois été obligée d'ouvrir la cheminée car des oiseaux s'agitaient dans le conduit. c'étaient deux bébés chouettes.
 
 
coucougeai.jpg   coucougris.jpg
 
Coucou geai et coucou gris

Le coucou ne fabrique pas de nid, et pond ses œufs un par un dans ceux des autres oiseaux. La femelle choisit un nid où se trouvent des œufs qui ressemblent aux siens. Pour faire la place, elle fait tomber un des œufs du nid. Le sien est couvé et nourri par les autres oiseaux et parfois lorsqu'il grandit il pousse carrément les autres oisillons hors du nid.
fauconcrecerelle.jpg

Télécharger fauconcrecerelle2021 

faucon crecerelle.jpg

Faucon crécerelle

Faucon fenetre.jpg

Faucon crécerelle

 
geai.jpg

geai des chenes.jpg

Les geais, ( comme les pies ) glapissent aigrement et font grincer leur crécelle en volant d'un arbre à un autre, pour chercher un abri. Le geai aime les glands des chênes. Parfois il en enterre et s'il les oublient ils poussent. Lorsqu'il n'a plus de nourriture il n'hésite pas à piller les nids.
Hirondelles
 
hirondellesrassemblement.jpg
hirondelles 5.jpg
 
Nid d'hirondelles dans une grange
 
hirondelles 10.jpg
hirondelles 11.jpg
hirondelles 8.jpg
Sorties du nid

 
 
bebesmerles.jpg

Bébés merles dans leur nid
 
mesangedsarbre.jpg


La mésange a beaucoup de petits pour sauver l'espèce car nombreux sont ceux qui meurent mangés par d'autres animaux.

http://www.chant-oiseaux.fr/mesange-charbonniere

mesangebleue.jpg

La mésange bleue

http://www.chant-oiseaux.fr/mesange-bleue



Les moineaux, blottis sous les feuilles des lierres, le long des vieux murs, poussent l'hiver des piaillements de détresse. Ils ont froid, ils ont faim...

fauvette tete noire.jpg

Fauvette tête noire


La pie, ce bel oiseau noir est attiré par ce qui brille. Elle va aussi piller les nids des autres. Elle fait son nid en haut des arbres et mange aussi des miettes.
 

pigeon.jpg

Pigeon
 

picepeche.jpg

pic epeiche.jpg

pic epeiche2.jpg

Même des pics. Voici le pic épeiche pourtant assez rare

http://www.web-ornitho.com/chants/Pic_epeiche.mp3


 
Kick kick kick ... Voilà un cri que l'on entend parfois. Il s'agit du cri sec et fort du pic épeiche qui picasse, un oiseau dont le chant est remplacé par un tambourinage : cet oiseau frappe rapidement avec son bec une branche sèche environ 20 fois par seconde. Comme tous les pics il possède un bec exceptionnellement fort pour pouvoir perforer et creuser le bois, un bec qui pousse régulièrement pour compenser l'usure consécutive à son emploi. Le bec est utilisé comme un levier pour arracher les fibres de bois par des mouvements latéraux de la tête.
Pour plus de renseignements, cliquez sur le lien suivant :

http://www.oiseaux.net/oiseaux/pic.epeiche.html

huppefacies2.jpg

La huppe faciée

 

pinson.jpg

Pinson des arbres

Le comportement des pinsons ?
Depuis quelques années, un pinson frappe à notre baie, il m'amuse, les graines sont derrière luit sur la barrière, devant cette même baie. Il a ainsi frappé tous les printemps pendant plusieurs années, puis plus rien pendant deux ans.
J'attends le printemps, saison durant laquelle ils se manifestent.  De nouveau l'un d'eux tape avec son bec, il se jette sur toutes les baies, va même à la porte d'entrée. On le croirait fou de joie ou d'excitation. Est-ce le même ?  Est-ce une habitude des pinsons ? Même notre chienne est perturbée.
Il se met dessous la mangeoire, jamais dedans et recueille les miettes que les mésanges font tomber au sol, volette pour regarder à l'intérieur, mais ne rentre jamais
. J'ai lu sur internet que le pinson a horreur des nichoirs.

Je pense que le pinson est essentiellement insectivore... mais je le vois ramasser les déchets des mésanges... Je trouve qu'il perd son temps à taper au lieu de chercher sa nourriture ou de faire son nid, il en devient même agaçant.


- Je ne crois pas que le fait de taper soit lié à la nourriture. Une année, j'ai eu une mésange bleue qui s'acharnait aussi contre une vitre d'une porte-fenêtre, au risque de s'assommer. J'ai pensé que le reflet dans la vitre la leurrait et qu'elle cherchait un endroit pour nicher. J'ai placé un nichoir à proximité sans résultat. Finalement, j'ai fermé le volet: seule solution pour qu'elle arrête.

- Possible mais insuffisant. Plusieurs oiseaux maintenant tapent au carreau et ce, quand il y a trop d'oiseaux autour des graines. Bien sûr il y a le reflet... mais ils m'observent aussi et fuient plus ou moins vite dès que je m'approche de la fenêtre. Les mésanges bleues et la sittelle sont les moins peureux. Donc s'ils voient leur reflet, ils voient aussi ce qui se passe à l'intérieur et guettent lorsque je dépose mes graines. Je les entends piailler.



 
picvert.jpg

Le pivert ou pic vert tape sur les troncs
 
rougegorgemur.jpg  rougegorgemurface.jpg   rougegorge.jpg


 
   rougegorgedsarbre.jpg

Le rouge gorge : reste tout l'hiver.

Pendant la saison froide, alors que beaucoup d'oiseaux sont allés vers des zones plus chaudes, le rouge gorge se protège en gonflant son plumage, fait son nid sous les racines des arbres, dans des trous. Il s'approche souvent des maisons où il espère trouver à manger.

petitoiseaugris.jpg

Petite merlette

merle_neige.jpg

Et merle sur fond de neige

sitelletorchepot.jpg


La Sittelle torchepot ( Sitta europaea ) est une espèce de passereau de la famille des sittidés. Elle est très sociable, excepté en période de reproduction. Elle est extrêmement agile et escalade les arbres avec facilité. On la voit souvent descendre le long des troncs d'arbres, la tête en bas. Elle vit jusqu'à 1 500 mètres d'altitude et niche dans des arbres morts. Elle se nourrit d'insectes et de larves, ainsi que de graines, baies, noix, noisettes, glands,  Vient aux mangeoires. Cet oiseau peuple les boisements plutôt âgés, mixtes ou de feuillus, bocages, parcs et grands jardins avec vieux arbres.

 

Tourterelleturque.jpg

Tourterelle turque importée

nid tourterelle.jpg

Nid geai

oiseautroglo.jpg

oiseautroglodsnid.jpg

troglodsmain.jpg

Petit oiseau troglodyte

 Ce tout petit passereau qui vole près du sol est un merveilleux chanteur.

http://www.photosyl35.com/pages/Pic_epeiche_Pic_vert_Pic_Mar_Pic_epeichette_Huppe_fasciee_Grue_cendree-8644648.html

pie.jpg

Pie


Date de création : 02/12/2015 . 14:30
Page lue 2457 fois


Réactions à cet article

Personne n'a encore laissé de commentaire.
Soyez donc le premier !

Site complet

Ce site n'est qu'un chapitre de mon site principal où vous pouvez trouver de multiples articles sur : Culture, littérature, santé, société, voyages...

Pour accéder à mon site principal, cliquez sur le lien suivant :

voyages-evasion.fr

Meilleur du Web : Classement des meilleurs sites web.

Visites

   visiteurs

   visiteur en ligne